15 août 2010: Assomption de Marie

Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 1,39-56.

Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, l'enfant tressaillit en elle. Alors, Élisabeth fut remplie de l'Esprit Saint, et s'écria d'une voix forte : « Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni.

Question: combien de personnes sont-elles présentes dans ce passage d'Evangile ?

Si vous répondez deux, vous avez lu trop vite.
Si vous répondez trois, vous êtes encore loin.
Si vous répondez quatre, vous approchez du compte juste.
Si vous répondez cinq, il n'en manque plus qu'une.
Si vous répondez six, vous rendez gloire au Père et vous avez raison.

(Elisabeth, Marie, Jean-Baptiste, l'Esprit-Saint, le Fils, le Père).

Toute une réunion de famille! Je trouve que parfois il y a un peu de cette rencontre quand Dieu nous saisi, ou nous fait saisir quelque chose dans un témoignage, où à la lecture d'une Parole de Dieu, hier, c'était quelque chose du genre, quand j'ai lu le témoignage de la vie de Ste-Rita. "L'Enfant Jésus que je porte en moi par la foi, ah comme tressaillit au dedans de moi "Mon cœur s'est ému à la lecture de la vie de cette femme, puisque je l'ai lu à voix haute. Il doit y avoir quelque chose en cela comme dans le salut de Marie, et de la proclamation d'Élisabeth, quelque chose qui nous dépasse. Essayons d'habiter la bonne Parole de Dieu en Lui prêtant notre voix, ou même proclamer la vie d'un ou d'une sainte, ne sommes nous pas, nous-même que Dieu a créé, Parole de Dieu, créé sur sa Parole, car par ce qu'Il dit, le monde lui même ne fut-il pas tiré du néant.

Drôle que cherchant à remettre les textes du jour au complet sur le lien je trouve que l'intro de la 1ère lecture viens comme ajouter quelque chose de semblable ou de complémentaire à ce que je viens de dire. Voici donc:

1ère lecture : L'arche qui porte la parole de Dieu est l'image de Marie (1 Ch 15, 3-4.15-16 ; 16, 1-2) Ne sommes nous pas nous aussi arche en portant la Parole Dieu et image de Marie, nous qui portons et proclamons cette Parole de Dieu, et si notre voix salut un vivant rempli de Lui, salut l'œuvre de Dieu en Lui. Ne risquons nous pas de nous trouver nous aussi, au milieu de ce tourbillon d'Amour de lequel nous sommes issu, plus encore que du néant qui l'appelle, car le vide décelé, ne reste pas vide longtemps. Faites-en l'expérience seulement en ouvrant un bocal canné. J'ai aussi seulement pensé à la grandeur de l'œuvre que Dieu était en train d'accomplir en quelqu'un, alors que de l'extérieur rien ne paraissait encore. Cela avait été pour moi comme une révélation, et comment cela m'avait béni, et même si je n'ai pas encore vu sa réalisation, il m'arrive encore d'y penser, et même de le dire, et comme cela me béni encore.

Les textes complets sur ce lien

Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie, l'enfant tressaillit en elle. Alors, Élisabeth fut remplie de l'Esprit Saint,
et s'écria d'une voix forte : « Tu es bénie entre toutes les femmes, et le fruit de tes entrailles est béni.
Comment ai-je ce bonheur que la mère de mon Seigneur vienne jusqu'à moi ?
Car, lorsque j'ai entendu tes paroles de salutation, l'enfant a tressailli d'allégresse au-dedans de moi.
Heureuse celle qui a cru à l'accomplissement des paroles qui lui furent dites de la part du Seigneur. »(Lc 1, 39-56)

Entendre les Paroles proclamées, et y croire, et pour les entendre, il faut qu'elles soient proclamées, et entendre avec un cœur ouvert et croire, rempli du St-Esprit.

Seigneur donnes-nous d'entendre et de croire à une Parole que Tu prononce aujourd'hui pour nous, à la saisir, et à être saisi par elle. Viens révéler, peut-être au cœur de celui qui manque de bonheur, toute la beauté que tu es à créer tout au fond de lui et au fond de l'autre encore inachevé aussi, et donne-lui ce bonheur de croire, que tu est à faire ce monde nouveau déjà en nous, en chacun de nous, ne le voyez vous pas, il germe déjà.

Jour de fête et jour de grâce: pour la première fois en dix ans, ma soeur cadette est venue à une Eucharistie en ma compagnie, puis m'a invité chez elle pour prendre l'apéritif. Nous habitons à moins de deux kilomètres l'un de l'autre, et cette invitation est la seconde depuis 1995: la première était une invitation à toute la famille et la seconde était due à une panne complète d'un chauffe-eau dans la maison familiale. Mais j'avais toujours prié et supplié la Vierge Marie de nous réconcilier.

Or, je ne sais comment ni pourquoi, ce matin, après avoir rendu visite à ma tante, j'ai appelé ma soeur sur une simple impulsion et lui ai dit : "Je vais maintenant à la messe à tel endroit et elle m'a répondu: je connais l'endroit, je te rejoins..." Nous avons été séparés par manque de place dans la chapelle, mais à la sortie, comme j'allais reprendre mes habitudes de chaque dimanche, elle m'a dit: "Je voudrais t'offrir un verre chez moi"...

Cette journée est donc bénie. Puisse le Seigneur nous garder dans son Amour dans tous les jours qui viennent !

Gloire soit rendue en tout temps au Père, au Fils et au Saint-Esprit ! Amen

Etienne

http://fr.news.yahoo.com/4/20100815/tts ... 02f96.html

Je cherche à présent ce que je crains de trouver: la source de la fausse alerte, qui n'a pas été indiquée.

La Vierge a préservé le lieu où tous la prient depuis près de deux siècles...

C'est curieux comme cette nouvelle rappelle la lecture de ce matin:

Livre de l'Apocalypse 11,19.12,1-6.10.
Le Temple qui est dans le ciel s'ouvrit, et l'arche de l'Alliance du Seigneur apparut dans son Temple, et il y eut des éclairs, des fracas, des coups de tonnerre, un tremblement de terre et une terrible grêle.
Un signe grandiose apparut dans le ciel : une Femme, ayant le soleil pour manteau, la lune sous les pieds, et sur la tête une couronne de douze étoiles.
Elle était enceinte et elle criait, torturée par les douleurs de l'enfantement.
Un autre signe apparut dans le ciel : un énorme dragon, rouge feu, avec sept têtes et dix cornes, et sur chaque tête un diadème.
Sa queue balayait le tiers des étoiles du ciel, et les précipita sur la terre. Le Dragon se tenait devant la femme qui allait enfanter, afin de dévorer l'enfant dès sa naissance.
Or, la Femme mit au monde un fils, un enfant mâle, celui qui sera le berger de toutes les nations, les menant avec un sceptre de fer. L'enfant fut enlevé auprès de Dieu et de son Trône,
et la Femme s'enfuit au désert, où Dieu lui a préparé une place, pour qu'elle y soit nourrie pendant mille deux cent soixante jours
Alors j'entendis dans le ciel une voix puissante, qui proclamait : « Voici maintenant le salut, la puissance et la royauté de notre Dieu, et le pouvoir de son Christ ! Car l'accusateur de nos frères a été rejeté, lui qui les accusait jour et nuit devant notre Dieu.

Je n'avais pas su pour l'attentat, mais quoi qu'on ait pu tenter de faire pour amoindrir ce jour, la puissance de notre mère n'est pas lié malgré tout à un lieu, et c'est de partout dans le monde que s'est fait ressentir son amour, et sa bienveillante attention pour ses enfants. Nous par chez-nous, la météo annonçait de la pluie pour la journée et pourtant la pluie n'a tombée que tard en soirée à une heure ou on se décidait à peine de rentrer mais on se disait bien il le faut et bon enfin il le fallait bien finalement que celle-ci commence pour ne pas nous faire regretter de refermer la porte. Et combien d'autres joies nous ont été permise pour la fête de sa majesté. Ne les contez-vous pas aussi vous tous qui nous lisez, combien en ce jour la croix nous avait été ménagée. Non ça personne en ce jour a pu nous empêcher de goûter à son Amour.