Il rend des forces à l'homme épuisé, il développe la vigueur de celui qui est faible.
Les jeunes gens se fatiguent, se lassent, et les athlètes s'effondrent,
mais ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur trouvent des forces nouvelles ;ils prennent leur essor comme des aigles, ils courent sans se lasser, ils avancent sans se fatiguer.(Is 40, 25-31)
Et tien encore une question d'espérance ou encore si on préfère, de confiance. Parce c'est encore cela espérer, avoir confiance, et lire de telles choses, nourri l'espérance n'es-ce pas.
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
bénis son nom très saint, tout mon être !
Bénis le Seigneur, ô mon âme,
n'oublie aucun de ses bienfaits !(Ps 102)
Tien encore une autre façon de nourrir l'espérance, après avoir revu les promesse de Dieu, se rappeler ce qu'Il a accompli déjà pour nous.
Et encore cet Évangile que je dirais des fatigués:
En ce temps-là, Jésus prit la parole :
«Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos.
Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez le repos.
Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. » (Mt 11, 28-30)
Prendre en Lui un peu de repos, nous refait encore pour continuer la route, sur le chemin de l'espérance. Et s'il y a bien une place ou s'accomplit cette promesse d'Isaïe, c'est bien au pied du Seigneur comme Marie Madeleine l'avait découvert.