30 mars 2012 Vendredi

C'est drôle j'ai retrouvé ce psaume médité hier, et partagé pour porter du réconfort, et là je le retrouve dans les psaumes du jour, alors que j'en ai moi-même de besoin. Au delà de ce que j'ai pu déjà en dire dans ma méditation, aujourd'hui ma médiation aurait été plus silencieuse, car le réconfort me venait du fait que nous somme devant Celui qui entend.

Psaume 18(17)2-3.5-7. 2

Je t'aime,
Seigneur, ma force :
Seigneur, mon roc, ma forteresse,


Je t'aime Seigneur, je sais que tu es ma force quand tu me
manque et la force aussi.


3Dieu mon
libérateur, le rocher qui m'abrite,
mon bouclier, mon fort, mon arme de victoire !


Je sais que tu es mon libérateur, Seigneur quand tu me manques
et que me sens sans abri, sans défense et vaincu de toutes parts.


5Les liens de la
mort m'entouraient,
le torrent fatal m'épouvantait ;


Je sais que tu me manques Seigneur lorsque je sent ma vie
emprisonnée épouvantée devant la menace


6des liens
infernaux m'étreignaient :
j'étais pris aux pièges de la mort.


Je sais que tu me manques Seigneur lorsque mes liens se
resserrent sur moi pour me prendre au piège.


7Dans mon angoisse,
j'appelai le Seigneur ;
vers mon Dieu, je lançai un cri ;
de son temple il entend ma voix :
mon cri parvient à ses oreilles.


Je sais que tu me manques Seigneur quand
mon angoisse me fait
pousser mon cri vers Toi,
vers Toi seul qui entend ma voix. Mais je ne suis pas
seule Seigneur, j'entends la foule se joindre à moi pour te lancer un
"maranatha"

"Viens Seigneur Jésus."