Puisque l'on me demande : Oui, j'ai été soldat

Cela se passait à une cinquantaine de de kilométrages de la frontières  de l'ex-Allemagne de l'est, équipée par l'armée rouge.   Ce que l'ont vivait durant ces dix mois tient en un seul mot:  "Vigilance avec les armes, vigilance à l'égard des officiers  tout comme envers les petits gradés de qui étaient des professionnels de l'armée.
On passait son temps à rester sur ses gardes pour éviter des "blagues" pas du tout amusantes.  En plein hiver, monter de garde dans  une guérite quasi ouverte à tout vent.  Je me souviens avoir sauter un pieds  d'un pied à l'autres durant trois heures.

C'est à la suite d'un refus à l'égard d'un caporal, que je me suis retrouvé  devant le plus le plus gradé : un Lieutenant-colonel.  D'instant à l'autre, en consultant mon dossiers, il se mit à parler en anglais de je me mis tout simplement à lui parler en anglais  et en flamand.  De très pénibles, mes conditions de "travail" changèrent et du tout au tout.  On me donna les clés de  de la voiture de fonction de mon supérieur.

De tout ce que j'ai pu apprendre,  j'ai conclu  que ce fameux  "Coronavirus " n'est-autre qu'une arme bactériologique qui s'est répandue à la suite d'un accident par lequel cette maladie virulente a commencé de se mettre à voyager :  il suffit que ces bactéries aient été évaporées dans atmosphère  ...