8 avril 2011 Vendredi

R/ Dieu est proche du malheureux.

Le Seigneur entend ceux qui l'appellent :
de toutes leurs angoisses, il les délivre.

Il est proche du coeur brisé,
il sauve l'esprit abattu.
Malheur sur malheur pour le juste,
mais le Seigneur chaque fois le délivre.

Il veille sur chacun de ses os :
pas un ne sera brisé.
Le Seigneur rachètera ses serviteurs :
pas de châtiment pour qui trouve en lui son refuge.
(Ps 33, 18, 19-20, 21.23)

« N'est-ce pas lui qu'on cherche à faire mourir ? Le voilà qui parle ouvertement, et personne ne lui dit rien ! Les chefs du peuple auraient-ils vraiment reconnu que c'est lui le Messie ? Mais lui, nous savons d'où il est. Or, lorsque le Messie viendra, personne ne saura d'où il est. »

« Vous me connaissez ? Et vous savez d'où je suis ? Je ne suis pas venu de moi-même : mais celui qui m'a envoyé dit la vérité, lui que vous ne connaissez pas. Moi, je le connais parce que je viens d'auprès de lui, et c'est lui qui m'a envoyé. »
(De Jn 7, 2.10.14.25-30)

Ici on montre bien que humainement, on peut bien savoir, ou juger qu'une personne est d'un lieu ou d'un autre, ou viens de tels ancêtres, tels parents, mais savoir reconnaitre ce qui l'inspire, cela est une autre paire de manche. Et dans ce texte, il est bien vrai qu'ils ne connaissent pas Celui qui envoie Jésus, puis que Jésus justement est venu nous le faire connaître. Et là dessus ça me ramène au psaume qui, lui aussi nous fait connaître cette bonté, et cette douceur de Dieu.