Vendredi 22 mars 2024. Notre forteresse

mes persécuteurs trébucheront, ils ne réussiront pas.
Leur défaite les couvrira de honte,
d’une confusion éternelle, inoubliable.

Chantez le Seigneur, louez le Seigneur :
il a délivré le malheureux de la main des méchants.(De Jr 20, 10-13)



Je t’aime, Seigneur, ma force :
Seigneur, mon roc, ma forteresse,
Dieu mon libérateur, le rocher qui m’abrite,
mon bouclier, mon fort, mon arme de victoire ! (De Ps 17 (18), 2-3, 4, 5-6, 7)


Or, celui que le Père a consacré
 et envoyé dans le monde,
vous lui dites : “Tu blasphèmes”,
parce que j’ai dit : “Je suis le Fils de Dieu”.
Si je ne fais pas les œuvres de mon Père,
continuez à ne pas me croire.
Mais si je les fais,
même si vous ne me croyez pas,
croyez les œuvres.
Ainsi vous reconnaîtrez, et de plus en plus,
que le Père est en moi,
et moi dans le Père. »(De Jn 10, 31-42)


Jésus est le Fils de Dieu, le Père est en Lui, et Il est dans le Père, Ils son inséparable, et on ne peut aller au Père sans passer par Lui, Lui qui nous libère, Lui  qui nous abrite, Lui figuré par le rocher duquel l’eau a coulé au désert, nous sommes dans le désert de cette terre, et c’est Lui qui nous abreuve.  Il est notre forteresse pour nous défendre contre tout ce qui veut nous détruire, nous libère de tout ce qui nous veut du mal, et plus encore, notre bouclier notre arme de victoire.

Ne pensons pas pouvoir tenir sans l’appeler, lui qui a mis près de nous le défenseur afin que nous puissions l’appeler.