Jésus s’adressa aux docteurs de la Loi et aux pharisiens
pour leur demander :
« Est-il permis, oui ou non,
de faire une guérison le jour du sabbat ? »
Ils gardèrent le silence.
Tenant alors le malade, Jésus le guérit et le laissa aller.
« Si l’un de vous a un fils ou un bœuf qui tombe dans un puits, ne va-t-il pas aussitôt l’en retirer, même le jour du sabbat ? »
Il m'apparaît un peu bête de penser cela, mais il me semble que Jésus tente par là, deux guérisons, soit aussi le fils ou le bœuf tombé dans le puis, les docteur de la lois ont un peu figure du rôle. Ce lien est visible aussi en lien avec la douleur de St Paul mentionné dans la première lecture. Mais ici contrairement au malade reconnaissant son état et désirant sa guérison ce dernier ne semble pas la reconnaître, ou es-ce seulement question d'appartenance; "mes brebis, écoutent ma voix". Sans doute que le bœuf est plus dur à retirer du puis que le fils.