"je vous le dis : ne vous occupez plus de ces gens-là, laissez-les. Car si leur intention ou leur action vient des hommes, elle tombera. Mais si elle vient de Dieu, vous ne pourrez pas les faire tomber. Ne risquez donc pas de vous trouver en guerre contre Dieu." (De Ac 5, 34-42)
Ce passage me refait penser à cette parabole de l'ivraie:
27 Les serviteurs du maître vinrent lui dire : 'Seigneur, n'est-ce pas du bon grain que tu as semé dans ton champ ? D'où vient donc qu'il y a de l'ivraie ?'
28 Il leur dit : 'C'est un ennemi qui a fait cela.' Les serviteurs lui disent :'Alors, veux-tu que nous allions l'enlever ?'
29 Il répond : 'Non, de peur qu'en enlevant l'ivraie, vous n'arrachiez le blé en même temps. [Mt - 13 : 27-20]
Cela me fait penser encore à un livre que j'ai déjà lu sur l'éducation, voulant qu'on fait grandir surtout les choses dont on s'occupe, ou auxquelles on attribut trop d'importance. Ici dans le texte, ces hommes en ont évité une belle, et ont permis à l'église de grandir, même s'il ne la comprenait pas.
Dans l'évangile de ce matin soit (Jn 6, 1-15) J'ai entendu l'observation que Jésus était assis sur la montagne avec ses apôtres. et que la multiplication s'est passé avec le peu qu'on a apporté, même bien insuffisant. Que cela ne sort pas de nulle part, car notre Seigneur n'use pas de magie, Il fait avec ce que l'on a. Aussi Lui qui est assis dans la confiance avec ses apôtre, invite la foule à faire de même. Par la suite on ramasse encore les miettes, pour que rien ne soit perdu, on m'a signalé ici comme un envoi en mission après le repas eucharistique.