Jeudi 17 septembre 2020, Fête de Ste Hildegarde

Les textes du jour

L'épisode de Marie Madeleine qui entre avec son flacon de parfum, et qui le brise pour le répandre sur les pieds de Jésus, après les avoirs lavé de ses larmes et essuyé avec ses cheveux,  les faits sont là, mais ceux qui ne voient que l'apparence et jugent avec leur jugement obscurcis disent:

Si cet homme était prophète, il sauraient qui est cette femme.  Eux qui accusent Jésus de ne pas savoir juger les gens les reconnaitre avec leur pedigree sur ce que les gens seraient selon l'opinion publique de ce qu'une personne serait selon eux, selon ce qu'elle paraît ne se sont jamais intéressé au Coeur de la personne, et on va juger sur son passé, ses origines, mais sont incapable de juger sur ce que la personne est réellement.  Les personnes sont comme enfermées sur comme une image qu'ils se sont fait, ou même celle que les gens ont dit de cette personne, comme si une personne n'évoluait jamais, et devait demeurer à jamais prisonnière de la dernière image qu'on avait pris d'elle.  Une chose semble réellement leur échapper, le cœur de la personne, et ce qu'elle voit, un monde très différent du visible, telle la Parole et la sagesse, qui pénètre l'intention et voient tout ce qui échappe encore à la mesquinité du jugement humain, quand il ne peut que voir les apparences.  C'est ce regard de Jésus que Dieu porte sur nous également.  Son regard est unique, et libérateur, il nous permet de grandir, de nous relever, de développer le meilleur de nous mêmes, cet être merveilleux que nous sommes et qu'il est venu sauver des fanges de ce monde, il nous fait naître à nouveau à ce monde du cœur qui échappe encore aux regard du dehors.