Alléluia. Heureux qui entend la voix du Seigneur et lui ouvre sa porte : il a trouvé son bonheur et sa joie. Alléluia. (cf. Ap 3, 20)
Alors qu'il était en route avec ses disciples, Jésus entra dans un village. Une femme appelée Marthe le reçut dans sa maison.
Elle avait une sœur nommée Marie qui, se tenant assise aux pieds du Seigneur, écoutait sa parole.
Marthe était accaparée par les multiples occupations du service. Elle intervint et dit : « Seigneur, cela ne te fait rien ? Ma sœur me laisse seule à faire le service. Dis-lui donc de m'aider. »
Le Seigneur lui répondit : « Marthe, Marthe, tu t'inquiètes et tu t'agites pour bien des choses. Une seule est nécessaire. Marie a choisi la meilleure part : elle ne lui sera pas enlevée. » (Lc 10, 38-42)
L'acclamation me fait faire un tout autre lien avec cette lecture avec le verset de l’apocalypse 3,20 qui dit: «Voici que je me tiens à la porte,et je frappe.Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte,j'entrerai chez lui ;je prendrai mon repas avec lui,et lui avec moi.»
Ce verset met l'accent sur le nécessaire, ce que le Seigneur attend de nous, entrer dans cette intimité avec Lui, dans une relation ou, Lui comme nous, sommes rassasiés de présence et d'Amour.