Par chez-nous, nous avions la messe de :
Bienheureuse Marie-Léonie Paradis (+ 1912)
Son nom de famille symbolise le Canada pour les lecteurs du roman Maria Chapdelaine, où l’on parle de ce François Paradis pour qui Maria récita tant d’Ave Maria. Issue d’une humble famille de Blairfindie, elle entre chez les soeurs marianites de Sainte-Croix pour aboutir au collège de Memracook, en Acadie. Grâce au ferme appui de son évêque, Mgr Laroque, elle fonde à Sherbrooke les Petites Soeurs de la Sainte Famille, vouées à l’éducation, aux séminaires et aux foyers sacerdotaux.
"‘Seigneur, montre-moi tes chemins’, disait-elle souvent. Elle ne craignait pas les diverses formes du travail manuel car c’est en accomplissant ces tâches par amour qu’elle trouva Dieu."
(Jean Paul II, à la béatification de la bienheureuse Marie-Léonie
Et comme je n'ai pas mon prions, le seul verset dont je peux me souvenir est celui-ci:
De Col. 3,14: «Par-dessus tout cela, qu'il y ait l'amour : c'est lui qui fait l'unité dans la perfection.» Dans la première lecture, et m'est revenu aussi une bride de l'Évangile: «Car quel est le plus grand, celui qui est à table, ou celui qui sert ? N’est ce pas celui qui est à table ? Et moi, cependant, je suis au milieu de vous comme celui qui sert.» (Luc 22:27 )
Une invitation je crois, à ne rechercher de grandeur que dans le service, au service de l'Amour. Aussi j'ai été un peu frappé aussi par ce fait de l'Eucharistie posée sur l'hotel et du prêtre et de nous tout autour. Nous qui sommes avec le prêtre appelés à la grandeur du service, et aussi Jésus au milieu de nous, dans son pain eucharistique, il est bien le plus grand qui est à table, et même sur la table de l'hotel, et il s'y tient pourtant même au milieu de nous pour servir, pour faire de nous aussi, à notre tour, remplis de Lui, tout Amour, ses serviteurs, à le porter partout sur nos chemins. Porter aussi par Lui l'Amour tout autour de nous.