Psaume : Ps 33, 2-3, 4-5, 6.9, 10-11
R/ Goûtez et voyez comme est bon le Seigneur.
Je bénirai le Seigneur en tout temps,
sa louange sans cesse à mes lèvres.
Je me glorifierai dans le Seigneur :
que les pauvres m'entendent et soient en fête !
Magnifiez avec moi le Seigneur,
exaltons tous ensemble son nom.
Je cherche le Seigneur, il me répond :
de toutes mes frayeurs, il me délivre.
Qui regarde vers lui resplendira,
sans ombre ni trouble au visage.
Goûtez et voyez : le Seigneur est bon !
Heureux qui trouve en lui son refuge !
Saints du Seigneur, adorez-le :
rien ne manque à ceux qui le craignent.
Des riches ont tout perdu, ils ont faim ;
qui cherche le Seigneur ne manquera d'aucun bien.
Je pense bien que si j'aurais partager vendredi j'aurais pris ce délicieux psaume. Oui rien ne manque à ceux qui craignent le Seigneur, à ceux qui l'aiment et le respectent, sauf une plus grande proximité à Lui, le trésor des trésors, tout le reste n'est que détachement requis, plus grand liberté à acquérir, en face de tout et de rien, pour ne s'attacher qu'au souverain Bien. Ce jour de vendredi j'ai bien dû faire un peu la Marthe, car une de mes filles est venue me visiter toute la journée, puis j'ai travailler un peu aussi en avant-midi et mon gendre son époux s'est joint à nous aussi pour le souper, ainsi que mon autre fille et son mari. Je n'aurais pas pensé pouvoir sortir pour le pain des anges, mais j'ai eu la grâce malgré tout, merci Seigneur. Un petit évènement, les enfants devais tous partir à temps, malgré un petit changement de dernière minute, mais ma présence n'était pas requise. Je me disait, aussi faire un travail d'esclave*, je vais toujours bien aller me faire du bien au coeur, je suis donc partie voir mon bien aimé. À l'homélie aussi j'ai entendu quelque chose que j'ai réussi à retenir: C'est que nous devons garder les mains de Marthe, mais le coeur de Marie.
(*mon nouveau travail, et là seul la vaisselle m'attendait)